Catherine Lalonde - Montréal
La cause piétonne est une cause qui est intrinsèquement populaire. Nous empruntons tous les infrastructures pour piétons à nos heures, il est donc primordial à mon sens de créer des environnements qui sont sécuritaires, invitants et propices aux déplacements, nonobstant nos habilités ou nos circonstances propres. Or, ce n’est pas le cas en ce moment. Il faut donc se mobiliser, effectuer des plaidoyers et se faire entendre afin de se réapproprier l’espace urbain, ce qui passe inévitablement par la volonté politique et celle des citoyens. Finalement, je souhaite m’impliquer, car la marche est au cœur de la mobilité alternative et représente l’épine dorsale des réseaux de transport durables.
Un Code de la sécurité routière qui priorise l’agrément général et la sécurité des personnes plutôt que la fluidité des machines.
Les rues sinueuses du Vieux-Québec en hiver, les ruelles de Montréal au printemps, en bordure de la rivière des Trois-Pistoles en été et les collines de l’Outaouais en automne.